La confiance en soi: l’alliance de l’introspection et de l’action – Article

La confiance en soi

Lors d’un séminaire consacré à la confiance en soi, Frédéric Lenoir et Christophe André, deux personnes qui m’inspirent profondément, ont partagé leur vision de ce concept universel et pourtant si intime.

En les écoutant, je me suis dit à quel point je partageais leur approche : il n’y a pas de véritable confiance sans une bonne connaissance de soi.

C’est en effet ce que je constate chaque jour dans mes accompagnements : tant qu’on ne reconnaît pas ses forces et ses faiblesses, il est difficile de se faire confiance.

J’ai donc eu envie de te partager, dans un article, ce qui a le plus résonné pour moi pendant ce séminaire et comment ces réflexions rejoignent ma pratique du coaching.

Confiance en soi : que nous disent Frédéric Lenoir et Christophe André ?

La confiance en soi est une capacité mentale que l’on mobilise face aux difficultés, à l’incertitude, et aux défis du quotidien. Elle est indissociable de la connaissance de soi.

La confiance naît de notre évaluation de l’équilibre entre la difficulté d’une situation et nos ressources pour y faire face. Bien sûr, cette évaluation peut être perturbée par nos émotions, notre stress ou notre perception de nous-même.

Frédéric Lenoir et Christophe André la définissent comme le sentiment que “cela va bien se passer” sans que ce soit une certitude.

La confiance en soi n’est pas un état permanent : elle fluctue selon les contextes. On peut se sentir très confiant pour un entretien professionnel, et beaucoup moins pour parler en public.

Mais une confiance durable repose sur une posture intérieure : “Je fais de mon mieux, et je verrai bien.”

C’est l’art de dissocier le processus du résultat.

Connais-toi toi-même

Le déficit de confiance en soi provient souvent d’un biais dans notre connaissance de nous-même : nous regardons surtout ce qui ne va pas.
Nos erreurs, nos manques, nos échecs…

En effet, si je demandais à mes clientes de lister tout ce qu’elles ne savent pas faire, la liste serait longue. Exercice que je ne leur demande pas car elles le maîtrisent déjà très bien ! 
Par contre ce que je leur demande, c’est d’énumérer tout ce dont elles sont capables et là la réaction est tout autre: les sourires se figent, le regard se trouble car elles se sentent démunies et ne savent pas en par où commencer.
Pourtant, c’est un exercice fondamental : comment développer la confiance en soi si l’on ne réalise même pas de quoi on est capable ?

Entre introspection et action

Socrate disait : “Connais-toi toi-même.”
Et dans cette phrase se trouvent deux dimensions :

  • l’introspection, c’est-à-dire réfléchir à soi,
  • l’action, c’est-à-dire expérimenter.

C’est l’alliance des deux qui construit la véritable confiance. L’action permet d’interagir avec le monde et de recevoir du feedback, souvent plus bienveillant que notre propre regard. La confiance en soi devient alors le mélange entre notre jugement intérieur (souvent critique) et le regard positif des autres.

A noter que la confiance en soi, c’est un rapport à l’action, à nos compétences (le FAIRE) tandis que l’estime de soi est un rapport global à qui nous sommes (l’ÊTRE). Bien entendu, les deux s’influencent mutuellement.

Apprendre à échouer

Une personne qui a confiance en elle est tolérante face à l’échec, à l’inconfort, à la difficulté.
Elle sait que “ne pas savoir” est normal, et que “se rater” fait partie de l’apprentissage.

👉 Il faut s’entraîner à échouer, et accepter l’échec comme un terrain d’expérience.

Ce que je remarque dans mes sessions, c’est que lorsqu’on n’a pas appris à échouer, on est paralysé par l’idée même de l’échec.
C’est une vraie difficulté pour celles et ceux qui ont toujours bien réussi, souvent sans trop d’effort ou les perfectionnistes!
Face à l’échec, tout vacille : l’identité, la valeur personnelle, la confiance.
Il n’y a pas de notion de progression, soit elles savent, soit elles ne savent pas, et elles confondent identité et compétence.

Apprendre à se tromper, à se planter même, est une étape cruciale pour nourrir une confiance solide et durable.
L’échec devient alors une expérience d’apprentissage, et non un jugement sur qui l’on est.

Accueillir toutes nos parts

Carl Gustav Jung nous rappelle que le chemin vers soi consiste à intégrer toutes nos parts, lumineuses comme obscures.
C’est ce qu’il appelait le processus d’individuation : accepter d’être un être unique, singulier, imparfait.

C’est en cessant de vouloir être parfait que nous pouvons découvrir toutes nos capacités.
Et surtout, sans nous comparer.

Sénèque disait : “Si tu veux être malheureux, compare-toi.”

La comparaison est destructrice, je ne le dirai jamais assez.
On se compare, on se juge… mais sur quelles bases ?
Souvent, on ne se connaît pas si bien soi-même, et encore moins la personne à laquelle on se compare.
C’est une comparaison de pommes et de poires, qui ne mène qu’à la dévalorisation.
Se comparer, c’est oublier que chacun avance sur son propre chemin, à son propre rythme, avec ses propres ressources.

Oser être vulnérable

Avoir confiance en soi, c’est aussi oser montrer ses points faibles.
Et réaliser que 95 % des gens s’en fichent… ou trouvent cela touchant.
Seuls 5 % jugent et c’est leur affaire, pas la nôtre.

Souvent, on est d’ailleurs perçu plus « aimable » lorsqu’on ose montrer ses faiblesses car l’authenticité plaît.

Retrouver ce qui nous met en joie

Spinoza nous invite à observer ce qui nous met en joie.
Nos émotions positives nous indiquent que nous allons dans la bonne direction tandis que les émotions négatives nous signalent que nous nous en éloignons.

Quand une cliente me dit qu’elle ne sait pas ce qu’elle aime faire, je l’invite toujours à explorer ce qui lui donne de l’énergie, ce qui la met en joie, ce qui l’excite positivement.
Ces indices sont des boussoles fiables : ils révèlent ce que nous aimons vraiment faire ou être.
Retrouver confiance en soi, c’est aussi se reconnecter à cette vibration.
Là où il y a de la joie, il y a du sens et de l’envie!

Apprendre à lâcher prise

Avoir confiance, c’est être ok avec le fait de ne pas tout savoir.
C’est faire la distinction entre ce qui est sous notre contrôle et ce qui ne l’est pas.

C’est une question que je pose souvent en coaching: combien de temps et d’énergie perdons-nous à essayer de résoudre ce qui est en dehors de notre contrôle ?
Notre cerveau veut absolument trouver une solution, alors il tourne en boucle. Résultat: on rumine, on stresse, on s’épuise. Il est donc important de revenir dans notre zone de contrôle, ce sur quoi on peut agir et accepter ce sur quoi on n’a pas de prise.

Accepter ce qui est, ce n’est pas un abandon, une résignation, du fatalisme, c’est choisir de se libérer de cette lutte inutile et de changer d’état d’esprit face à la situation.

Cette acceptation, ce lâcher-prise, c’est aussi faire confiance en la vie!

L’impact du patriarcat

Lors de ce séminaire, animé par six intervenants masculins, Christophe André a souligné un point essentiel :

« Notre société prépare davantage les hommes à avoir confiance en eux que les femmes …»

Cette phrase résonne profondément et met en lumière à quel point nous sommes encore imprégnées de cette construction sociale, souvent inconsciemment.

L’impact du patriarcat sur nos vies et nos carrières de femmes, c’est tout un chapitre de mon livre Pandore a raison.
Le manque de confiance en soi des femmes n’est pas une faiblesse individuelle : il a été construit au fil des siècles.
En prendre conscience, c’est ce rendre compte qu’il n’y a pas quelque chose qui cloche chez nous mais que c’est une dynamique collective qui explique le déficit de confiance en soi chez les femmes. C’est libérateur.

On peut ensuite renouer plus facilement avec la confiance en soi car elle s’apprend, se cultive et se construit!
Et cela commence par une seule chose : Oser passer à l’action, tout simplement!

Tu veux oser passer à l’action, mais tu ne sais pas par où commencer ?
Je te propose une session découverte offerte pour t’aider à identifier tes ressources, tes freins et les premiers pas à poser pour (re)trouver confiance en toi.
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Ce que j’ai pensé du séminaire

Frédéric Lenoir et Christophe André sont deux personnes qui m’inspirent profondément.
Je me suis d’ailleurs référée au travail de Christophe André dans Pandore a raison pour déconstruire la “boîte peur”.

Et pourtant, en quittant le séminaire, j’ai ressenti à la fois de la joie et de la frustration.
Joie, parce que ces réflexions résonnent profondément avec ce que je transmets déjà dans mes coachings, mes conférences, mon livre. 🤩
Frustration, parce que je ne suis pas encore invitée à parler de la confiance en soi lors d’un grand séminaire qui rassemble des milliers de personnes! 😅

Est-ce mon ego qui parle ou mon insatiable envie de partager ? Peut-être un peu des deux…
Mais je sais une chose : rien ne me rend plus heureuse que mon rôle d’autrice et de conférencière, pour partager ma vision du développement personnel et du monde avec une audience toujours plus large. 🌟

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Être égoïste sans culpabiliser ! – Article

Être égoïste sans culpabiliser

C’est le thème de deux sessions de groupe que j’ai animées cette semaine… et ce fut riche en discussions!

Pourquoi ? Parce que le mot égoïste dérange.
Il a une connotation très négative : « surtout pas ça ! ».
En développement personnel, on dit souvent : “Prendre soin de soi n’est pas être égoïste”.

Et si on changeait la donne ?
Et si on osait dire : “Oui, j’aime être égoïste, parce que prendre soin de moi est important” ?

Égoïsme versus Altruisme

Revenons au mots:

  • Égoïsme : attachement excessif à soi-même, au mépris des autres.
  • Altruisme : disposition à s’intéresser aux autres, à se montrer désintéressé.

Deux pôles opposés… mais ni l’un ni l’autre ne sont totalement “bons” ou “mauvais”.

 

Voici ce qui ressort des sessions de groupe:

Avantages de l’altruisme

L’altruisme, c’est créer du lien, partager, faire plaisir.
C’est aussi se sentir utile, reconnu, apprécié (mais est-ce encore du pur altruisme ?).

Limites de l’altruisme

S’oublier, perdre ses priorités, s’épuiser.
Et laisser parfois les autres profiter de notre générosité.

Inconvénients de l’égoïsme

Isolement, repli sur soi…
Mais surtout : culpabilité, peur d’être mal vue, peur de blesser, peur de décevoir.
Car ce n’est pas tant l’acte qui pose problème… mais ce qu’on pourrait en dire.

Parlons donc de cette culpabilité

Un ressenti bien présent dès que l’on décide de penser à soi avant les autres. Une émotion qui colle à la peau et dont on a du mal à se détacher. Une conséquence qui peut même ruiner le moment qu’on avait prévu pour soi, simplement parce qu’on a osé dire non.

Cette culpabilité est très ancrée chez les femmes. Elle est liée à une construction sociétale : une femme doit prendre soin, faire plaisir, se dévouer. Alors, comment ne pas culpabiliser quand on ose faire autrement, alors que le monde entier attend l’inverse ?

Cette culpabilité charrie aussi le poids de la peur :

  • peur de décevoir,
  • peur d’être mal vue,
  • peur d’être moins aimée.

Pour s’en libérer, il faut d’abord construire une belle estime de soi. Car quand on s’aime et qu’on se respecte, le regard des autres pèse beaucoup moins.

L’égoïsme sain : un allié précieux

Car oui, il existe un égoïsme sain. Celui qui n’exclut pas les autres, mais qui commence par prendre soin de soi.
Un égoïsme qui nous permet de :

  • avoir des moments rien qu’à nous,

  • se faire plaisir sans culpabilité,

  • revenir à nos besoins et priorités,

  • préserver notre énergie,

  • se réaligner avec qui l’on est vraiment.

Finalement, pratiquer l’égoïsme sain, c’est se donner la possibilité de mieux revenir vers les autres.

Trouver l’équilibre

Il ne s’agit pas de choisir entre être égoïste ou altruiste.
Mais plutôt de s’autoriser à naviguer entre les deux, selon le contexte.

 Exemple :

  • Une collègue me demande de l’aide le week-end. Dire non, c’est préserver mon temps en famille.

  • Une amie a besoin d’un coup de main avec ses enfants. Malgré ma fatigue, j’ai envie d’être là pour elle.

Dans les deux cas, ma décision est juste… car elle est alignée avec moi.

Et si…

On arrêtait les jugements binaires ? (“Quelle égoïste !”)
On acceptait d’être tantôt altruiste, tantôt égoïste, sans étiquette ?
Et si on apprenait à accueillir la culpabilité au lieu de la fuir… pour qu’elle perde enfin de son poids ?

Food for thoughts!

Et toi, dans quel domaine de ta vie pourrais-tu pratiquer un peu plus d’égoïsme sans culpabiliser ?

« Vous allez adorer la rentrée » – Interview Femmes d’Aujourd’hui

Vous allez adorer la rentrée

Voici quelques extraits de l’interview réalisée par Ariane Langlois de Femmes d’Aujourd’hui pour aborder la rentrée scolaire 2025-2026 autrement!

  • 💬 « Même si nous n’avons plus le temps d’y consacrer des heures, il ne faut pas pour autant les abandonner dès la rentrée. On n’est pas obligée de lâcher tout ça pour récupérer un rythme ultra-rapide. En réalité, il est toujours possible de les injecter à petites doses dans notre emploi du temps : 10 minutes par-ci, 10 minutes par-là. Ces petits pas de côté font toute la différence pour le moral. »

  • 💬 « Ouvrez la discussion ‘Qui peut prendre en charge quoi ?’ et discutez-en tous ensemble. Souvent, on s’en met trop sur le dos, alors que les enfants grandissent, peuvent être responsables de plus de choses… et que le conjoint est aussi là pour prendre sa part de la charge mentale familiale. »

  • 💬 « La ‘wish list’ est une belle façon de ne pas oublier les projets qui nous donnent de l’énergie. »

Pour plus de trucs et astuces, voici l’article dans son entièreté !

Vous allez adorer la rentrée - article Femmes d'Aujourd'hui
Vous allez adorer la rentrée - Article Femmes d'Aujourd'hui

« 5 précieux conseils de coach pour mieux attaquer la rentrée » – Article écrit pour Références

5 précieux conseils de coach pour mieux attaquer la rentrée

🚀 𝐋𝐚 𝐫𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞́𝐞… 𝐜𝐞 𝐦𝐨𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐥’𝐨𝐧 𝐫𝐞𝐝𝐨𝐮𝐭𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐟𝐨𝐢𝐬…
mais qu’on peut choisir de vivre autrement que dans le stress !

Et si, au lieu d’être appréhendée, la rentrée devenait le moment parfait pour:
🌱 Démarrer une nouvelle activité
⏰ Repenser ses routines
💫 Planifier des moments privilégiés
💜 Prendre soin de soi
🧹 Faire le tri et alléger son environnement

C’est ce que je partage dans mon nouvel article publié sur Références.
👉 5 précieux conseils de coach pour mieux attaquer la rentrée

📖 Découvre l’article complet ici.

👉 𝐄𝐭 𝐭𝐨𝐢, 𝐪𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐬𝐞𝐫𝐚 𝐭𝐚 𝐩𝐞𝐭𝐢𝐭𝐞 𝐚𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐦𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐚𝐭𝐭𝐚𝐪𝐮𝐞𝐫 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐫𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞́𝐞?
Un nouveau projet ? Un nouvelle routine 

« 3 étapes pour faire le point sur ta vie pro et perso! » – Article écrit pour Références

3 étapes pour faire le point sur ta vie pro et perso

Dans le tourbillon du quotidien, il est rare de prendre le temps de s’arrêter et de réfléchir à sa situation professionnelle et personnelle. L’été, avec son rythme plus calme, est une période propice à la réflexion, le moment parfait pour se recentrer et s’interroger :

  • Suis-je toujours aligné avec mes projets ?
  • Est-ce que ce que je vis me rend heureux ? 

Pour amorcer cette nécessaire introspection estivale, rien de tel qu’un exercice simple et concret. Je vous propose ici un outil inspiré de la roue de la vie, que j’utilise souvent en coaching. Il peut être réalisé seul, en couple ou même en famille.

Étape 1 : Faites le tour de vos domaines de vie

Voici dix domaines à explorer, que vous pouvez modifier en fonction de vos besoins ou envies :

  • Couple
  • Enfants
  • Famille et amis
  • Carrière
  • Finances
  • Environnement
  • Spiritualité
  • Santé
  • Loisirs
  • Développement personnel

Pour chaque domaine, posez-vous la question suivante : sur une échelle de 1 à 10, comment j’évalue ma situation actuelle ?

Quelques exemples :

● Argent : 9/10 – J’ai un bon salaire et une sécurité financière.

● Carrière : 6/10 – Je me sens de moins en moins épanoui dans mon travail

● Famille : 7/10 – Tout va bien, mais on ne se voit pas beaucoup.

Étape 2 : Clarifiez vos souhaits

Pour chacun des domaines choisis, demandez-vous ensuite quel serait votre niveau de satisfaction idéal à l’avenir (toujours sur 10).

Exemples :

● Argent : 8/10 – Gagner un peu moins mais avoir plus de temps libre me conviendrait.

● Carrière : 9/10 – Retrouver du plaisir dans mon travail.

● Famille : 8/10 – Passer plus de temps de qualité avec mes enfants. Important : l’objectif n’est pas d’atteindre le 10/10 partout ! Un 3/10 en spiritualité peut tout à fait convenir… si cela ne crée pas de frustration. Ce qui compte, c’est l’écart entre votre situation actuelle et votre souhait.

Étape 3 : Imaginez des pistes concrètes pour la rentrée

Sur base de ces constats, demandez-vous :

● Qu’ai-je envie de mettre en place (le quoi) ?

● Qu’est-ce que cela m’apporterait (le pourquoi) ?

● Qu’est-ce que je peux commencer ou arrêter (le comment) ?

 

Un exemple d’exploration du domaine « Carrière »

● Qu’ai-je envie de mettre en place ?

Faites un vrai point sur ce qui vous motive au travail et ce qui vous draine. Identifier les activités qui vous donnent de l’énergie, celles qui vous ennuient ou vous épuisent, ainsi que les conditions dans lesquelles vous travaillez le mieux.

● Qu’est-ce que cela m’apporterait ?

Mieux comprendre les sources de votre démotivation, donner du sens à ce que vous ressentez, et surtout trouver des pistes concrètes pour retrouver de l’enthousiasme dans votre vie professionnelle.

● Qu’est-ce que je peux commencer ou arrêter ?

Commencer à observer vos journées et noter ce qui vous met en énergie ou au contraire vous vide.

➤ Arrêter de subir ou de vous dire que « ça ira mieux plus tard », sans poser de véritables actions.

➤ Oser parler à votre manager ou à un collègue de confiance pour explorer de nouvelles perspectives.

 

Et ensuite ?

Selon les réflexions que vous aurez menées, vous pourriez vous retrouver dans l’une des situations suivantes :

● Avec quelques ajustements, je pourrais retrouver du plaisir dans mon poste actuel (rééquilibrer ma charge, clarifier mes missions, poser des limites…).

● Une mobilité interne pourrait m’apporter un nouvel élan (changer d’équipe, de rôle, ou de périmètre tout en restant dans la même entreprise)

● Je ne vois pas de solution durable dans mon organisation actuelle : il est peut-être temps de réfléchir à un changement plus profond ou à une réorientation.

 

Envie d’un coup de pouce dans cette reflexion? Profitez d’une session de coaching offerte!

 

« 9 Astuces pour prendre soin de ton énergie au quotidien ! » – Article

9 astuces pour prendre soin de ton énergie au quotidien

Notre énergie est précieuse : elle nous permet de vivre, de créer, de réaliser nos projets. Pourtant, il nous arrive souvent de la gaspiller sans nous en rendre compte.

La bonne nouvelle ? Ce sont parfois de petits gestes simples qui peuvent tout changer.

Voici 9 astuces concrètes pour prendre soin de ton énergie, en agissant sur trois piliers essentiels : le corps, le cœur et la tête.

1. Le corps : la base de l’énergie

 

Astuce 1 : Dormir suffisamment

Dormir 8 heures par nuit, c’est la base. Pourtant, nous dormons souvent moins que nécessaire. Or, un sommeil de qualité est essentiel pour recharger nos batteries.

Le sommeil se prépare pendant la journée :

  • En mangeant des protéines (qui aident à produire la mélatonine, hormone du sommeil).
  • En faisant des pauses pour éviter un cerveau en surchauffe.
  • En coupant les écrans au moins 1h30 avant le coucher : la lumière bleue et les réseaux sociaux excitent notre mental.

Astuce 2 : Bien s’alimenter

L’alimentation est le carburant de notre énergie. Voici 3 conseils super importants:

  • Commence ta journée avec un petit-déjeuner riche en protéines : tu soutiendras ton énergie et prépareras ton corps au sommeil du soir.
  • Réduis ta consommation de sucre : contrairement à ce qu’on croit, il nous fatigue plus qu’il ne nous booste.
  • Et surtout, pense à t’hydrater : boire 1,5 à 2 litres d’eau par jour est essentiel. Un coup de mou en journée ? Tu es peut-être simplement déshydratée !

Astuce 3 : Bouger, bouger, bouger

Bien que nous ayons souvent la flemme, bouger nous donne de l’énergie! Cela permet de faire circuler l’énergie, réduit les tensions, relâche le stress.
Pas besoin d’un marathon : 30 minutes de marche quotidienne suffisent!

Surtout évite de rester assis trop longtemps : lève-toi, étire-toi, respire.
Le mouvement, sous toutes ses formes (danse, yoga, massage, …), est une véritable source de vitalité.

2. Le cœur : cultiver l’énergie émotionnelle

Astuce 4 : Se faire plaisir

Le plaisir recharge.
Rire, sortir, danser, voir des amis : toutes ces activités nourrissent notre joie et notre énergie.
N’attends pas les vacances pour te faire du bien : offre-toi de petits plaisirs chaque jour.

Astuce 5 : Accueillir ses émotions

Les émotions refoulées nous épuisent.
Il est essentiel de prendre de temps à autre un moment pour te demander : Comment je me sens ? Qu’est-ce qui me traverse ?
Écris, parle, ventile… Poser ses émotions, c’est libérer de l’espace intérieur et retrouver de l’élan.

Astuce 6 : Soigner son environnement

Tout ce qui nous entoure nous impacte :
Les personnes que l’on côtoie, les contenus que l’on consomme, l’espace dans lequel on évolue…

Je t’invite donc à éviter les environnements chargés de négativité ou les médias anxiogènes.
Cultive plutôt la gratitude, la bienveillance, la beauté. Mets de la musique, chante, danse, respire… ça change tout.

3. La tête : apaiser le mental

 

Astuce 7 : Diminuer le temps d’écran

L’hyperconnexion nous épuise mentalement: il y a trop d’informations, trop de stimuli et ce trop rapidement pour que notre cerveau puisse les traiter correctement.
Moins de scroll, c’est plus de présence, de clarté et de repos pour le cerveau.
Et si tu mettais le contrôle du temps sur ton smartphone pour ne plus gaspiller ton attention sur des contenus inutiles ou toxiques.

Astuce 8 : Apprendre à ne rien faire

Oui, vraiment.

Ne rien faire, rêver, contempler, s’ennuyer même… sont des actes réparateurs.
Quelques minutes à regarder les nuages ou à respirer profondément peuvent suffire.

La méditation, la cohérence cardiaque ou juste un moment de silence peuvent t’aider à revenir à l’essentiel.

Astuce 9 : Revenir au moment présent

Le passé nous juge (“Tu aurais dû…”), le futur nous inquiète (“Et si jamais…”). Ces pensées sont souvent anxiogènes et nous volent notre énergie.

Ramène ton attention à l’instant présent en revenant à ton corps, à tes cinq sens.
Cuisiner, jardiner, peindre, marcher : tout ce qui mobilise ton attention de manière concrète t’aide à sortir du mental.

Corps, cœur, tête : tout est lié

Un mental agité peut créer des tensions dans le corps.
Une mauvaise alimentation peut affecter notre humeur.
Des émotions refoulées peuvent nous vider de notre énergie.

Mais de petites actions quotidiennes peuvent tout changer.

Moi, je commence ma journée par une marche et un petit-déjeuner protéiné.

Et toi, quelle est l’action que tu choisis d’adopter dès aujourd’hui ?

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